Points forts et points faibles des 3 derniers casques Oculus - It-revue
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Points sur les 3 derniers masques VR de la marque Oculus - It-revue

Points forts et points faibles des 3 derniers casques Oculus

À chaque casque de réalité virtuelle l’expérience VR qui va avec ! Comme tous les modèles présentent des caractéristiques de conception qui leur distinguent, les expériences d’utilisation ne sont pas les mêmes. Oculus Go, Oculus Quest, Oculus Rift S : découvrez leurs spécificités et leurs points faibles.

Oculus Go : vers la démocratisation de la réalité virtuelle

Pesant 467 G, avec 32 Go ou 64 Go de stockage, ce casque mesure 190 mm x 105 mm x 115 mm. À part la configuration initiale, il ne nécessite aucun usage de smartphone pour bien fonctionner. Cet accessoire offre alors une expérience autonome sans fil, fonctionnant sur Wi-Fi. Il figure parmi les premiers modèles tout à fait autonomes lancés sur le marché.

Côté résolution d’affichage, Oculus Go présente des objectifs améliorés et insiste sur le confort pour les usages longues sessions. Grâce à son système de haut-parleurs intégré, le son spatial passe à travers les sangles de tête. Vous pouvez discuter avec d’autres joueurs en vous servant du micro intégré. Les expériences multi-utilisateurs comme celles proposées par Oculus Rooms sont alors au rendez-vous.

Pour ce modèle Oculus, le suivi de la compatibilité reste encore à 3 degrés à travers le magnétomètre, le gyroscope 3Dof et l’accéléromètre. L’impossibilité d’extension du stockage constitue une limite relative à ce casque, ce qui empêche de vivre des expériences plus poussées.

Oculus Go permet de détecter l’orientation du joueur et les mouvements de tête avec son suivi de rotation. Mais il est dépourvu de caméra et de suivi de position. Les déplacements dans une pièce se trouvent hors de sa gestion.

Oculus Quest pour une expérience plus immersive

Présenté sur le marché à partir du 21 mai 2019, Oculus Quest s’affiche comme successeur du modèle Go qui ne sera plus commercialisé en 2021. Ses capacités dépassant nettement celles de son aîné justifient son prix plus élevé. Le suivi de position absent sur Go est bel et bien comblé sur Quest. Avec ce modèle, vous pouvez alors vous déplacer à l’échelle d’une pièce en scannant votre environnement. Deux contrôleurs facilitant le suivi équipent Oculus Quest.

Ce bijou autonome de Facebook est une solution adéquate pour se lancer dans des expériences virtuelles correctes, sans avoir besoin de machine puissante comme alimentation. Il fonctionne avec un chipset mobile Qualcomm Snapdragon 835. Une application mobile Oculus suffit pour le configurer.

Avec une résolution de 1 600 x 1 440 par œil, Quest fait un pas en avant face à son aîné. Il fournit une expérience plus immersive grâce à ses graphismes nets. Sa taille assez large permet un usage confortable des lunettes. Par ailleurs, la mousse autour de la visière reste respirante et agréable au toucher.

Pour les utilisateurs de longues durées, l’autonomie constitue une faille pour ce modèle. Elle oscille entre 3 h et 1 h 30 min selon les usages. Un effet de grille encore gênant persiste lors de son utilisation. Pour une meilleure expérience audio, brancher des écouteurs ou un casque audio s’impose en vue de pallier le niveau des haut-parleurs intégrés.

Oculus Rift S : la réalité virtuelle devient réelle

Oculus Rift S est une évolution incrémentale du modèle Rift. Il promet plus de confort par rapport à son prédécesseur. Ce casque dégage les capteurs externes pour les échanger contre une demi-dizaine de caméras directement intégrées. Cette amélioration facilite le repérage dans l’environnement, comme propose Oculus Quest.

Ce modèle présente une résolution de 2560 x 1440 avec une fréquence de rafraîchissement 80 Hz. Il offre de ce fait une meilleure expérience visuelle pour plus d’immersion. Les améliorations réduisent l’effet de porte d’écran et les problèmes de vertige éventuel. Ce produit de Oculus signifie alors expérience virtuelle plus fluide.

Sur le plan ergonomique, Rift S est assez compliqué à enfiler, mais doté d’un confort convenable aux longues sessions. Comme celle du Rift original, son interface faciale est formée d’une mousse à plaquer fermement contre le visage. Mesurant 15,5 cm au lieu de 14,5 cm, la visière plus large s’adapte mieux aux porteurs de lunettes.

Le contraste des couleurs reste un point à améliorer sur Oculus Rift S. Il n’atteint pas suffisamment le niveau d’un écran Amoled. En bord horizontal, la marge d’erreur demeure faible. Le champ de vision présente une coupure droite. 

Les casques VR n’ont pas encore dit leurs derniers mots. Les mises à jour sont nombreuses que ce soit chez Oculus ou les autres grandes marques.

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